3ème nuit de violences
La mort brutale du jeune Nahel a légitimement suscité une vive émotion. La justice est en cours avec la mise en examen du fonctionnaire de Police : elle doit s’exercer sans pression et en indépendance du pouvoir et de l’opinion.
La justice, ce n’est pas la vengeance ni le lynchage public et médiatique sur les réseaux. On ne peut que regretter avec force les amalgames et la récupération politique…
Rien ne justifie les violences contre les personnes et les biens qui sont inexcusables et intolérables.
Nos concitoyens en appellent au retour au calme et au maintien de l’ordre républicain, pour que la justice, puisse, dans la sérénité, remplir sa mission. Jean-Louis Matéos